Du 24 Mai au 17 Juin 2012 – Festival Photo’med 2012 – Sanary-sur-Mer / Bandol / Ile de Bendor / Hôtel des Arts de Toulon

Festival de la photographie méditerranéenne 2012

Sanary-sur-Mer / Bandol / Ile de Bendor / Hôtel des Arts de Toulon

 

 

Photomed 2012, deuxième édition

Berceau de l’Antiquité, trait d’union entre les civilisations d’Europe, d’Afrique et d’Asie, la Méditerranée est le lieu de tous les contrastes et de toutes les passions

Mille fois décrites et chantées, ses rives ensoleillées ont de tout temps attiré écrivains, peintres et poètes

Mais qu’en est-il de la démarche et de la motivation des photographes contemporains qui inscrivent leurs pas dans ceux de leurs illustres prédécesseurs  ?

A l’heure de la mondialisation, peut-on parler d’une photographie méditerranéenne, d’une spécificité qui lui serait propre et dont l’exotisme serait exempt ? A la recherche des origines, sur les traces d’un passé toujours recomposé, la photographie en Méditerranée a-t-elle une résonance particulière  ?

C’est la raison pour laquelle, du 24 mai au 17 juin 2012, la programmation du Festival s’attachera de nouveau à ouvrir des pistes, explorer des tendances, faire un état des lieux.

Pour sa deuxième édition, Photomed accueillera 22 expositions, des ateliers de photographie, des lectures de portfolios, des installations et un studio qui donneront à ce festival une dimension globale susceptible de répondre aux désirs des divers publics.

Si le Festival reste centré sur Sanary où seront présentées le plus grand nombre d’expositions, la ville de Bandol, l’Ile de Bendor et l’Hôtel des Arts de Toulon rejoignent Photomed, créant ainsi une continuité territoriale.

Horaires et accès

Les horaires du Festival :

  • Sanary-sur-Mer : 10h – 18h sauf le lundi (Ouverture exceptionnelle le lundi de Pentecôte)
  • Bandol : 8h30 – 12h / 13h30 – 18h (du lundi au vendredi), ouverture le samedi  et le dimanche de 10h à 18h
    Fermeture le lundi de Pentecôte
  • Ile de Bendor : 10h-13h30/14h30-18h  tous les jours sauf le lundi
  • Hôtel des Arts de Toulon : 10h – 18h / Fermeture les lundis et jours fériés

En route pour le Festival :

En voiture :

  • En provenance de Paris, Lyon ou Marseille : autoroute A7, puis A50, sortie n°12 Sanary/Bandol
  • En provenance de Nice : autoroute A8 puis A57 et A50, sortie n°13 Sanary/Six-Fours
    Itinéraires et distances : www.mappy.fr ou www.viamichelin.com

 Stationnement à Sanary-sur-Mer :

  • Parking de l’Esplanade
  • Parking Arnaldi
  • Parking des Picotières

Stationnement à Bandol :

  • Parking du 11 novembre
  • Parking central
  • Parking du Casino
  • Parking du Stade

 En avion :

  • Aéroport de Marseille-Provence à 87kms  Tél. : +33(0)4 42 14 14 14 – www.marseille.aeroport.fr
    Transfert toutes les 20min. jusqu’à la Gare de Marseille puis TER jusqu’à Ollioules/Sanary ou Bandol ou Toulon
  • Aéroport de Nice Côte d’Azur à 160kms  Tél. : +33(0)8 20 423 333 – www.nice.aeroport.fr
    Transfert jusqu’à la Gare SNCF de Nice, puis TER jusqu’à Toulon. Puis TER possible jusqu’à la gare d’Ollioules/Sanary ou Bandol

En train : Tél. : 3635 – www.voyages-sncf.com

  • Gare TGV de TOULON : Hôtel des Arts de Toulon
  • puis TER Gare Ollioules/Sanary ou Taxi : visite des expositions de Sanary
  • ou TER Gare de Bandol : visite des expositions de Bandol (puis navette maritime pour l’île de Bendor)
  •  Gare TGV de MARSEILLE (80kms) puis TER Gare Ollioules/Sanary ou Gare de Bandol ou Toulon (selon les expositions à visiter)

TAXIS : 0825 56 26 26

En Bateau : Pour se rendre sur l’Ile de Bendor :
Depuis l’embarcadère du Port de Bandol : départs des navettes maritimes entre 7h et 18h30 (à partir de 19h20, service à ordre jusqu’à minuit).
Important : Pendant toute la durée de Photomed, les visiteurs qui auront rempli les conditions de visite des expositions, (règlement dans le flyer-prospectus du Festival, à disposition dans les Offices de Tourisme, Mairies et salles d’exposition des communes partenaires…), pourront accéder aux navettes régulières à un tarif préférentiel de -50%.

Renseignements et informations :

  • Office du Tourisme de Bandol : Tél. +33(0)4 94 29 41 35 – www.bandol.fr
  • Informations des Iles Paul Ricard : Tél. +33 (0)4 94 10 65 20 ou +33(0)4 94 10 75 93 – www.bendor.com
  • Informations sur l’Hôtel des Arts de Toulon : Tél. +33 (0) 4 94 91 69 18 – www.hdatoulon.fr
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3 Mai au 30 Août 2012 – Espace MOBALPA – Michèle MAURIN – Le vert paradis, Un voyage gourmand

Espace MOBALPA – Michèle MAURIN – Le vert paradis, Un voyage gourmand

L’espace Mobalpa, exceptionnel showroom au cœur de Paris se fait tout au long de l’année le théâtre d’événements dédiés à l’art et à la gastronomie.   

Il accueillera Michèle Maurin, photographe et ethnobotaniste.  

La réalisation de l’exposition est animée par une volonté de mettre en avant des notions d’esthétique, d’écologie, de préservation de la biodiversité et d’utilisation à des fins gastronomiques d’éléments du monde végétal.  

Une thématique concernant les arbres nourriciers (souvent occultée par des considérations prosaïques concernant la course au développement, dans laquelle l’agriculture intensive le dispute à l’exploitation forestière sauvage), associée à la préservation de la biodiversité, est mise en exergue dans ce travail inédit.  

Michèle Maurin naît sur les bords de l’océan, à la frontière de la Côte d’Ivoire et du Ghana. Issue d’une famille de nationalité française, expatriée depuis deux décennies, elle voit le jour dans une région d’une grande diversité ethnique. Dès l’âge de 14 ans, elle s’intéresse à la nature et prend ses premières photographies, au gré de longues équipées en brousse. De cette passion pour l’environnement et l’exploration, la photographe en fera un métier, passera un diplôme en écologie tropicale, publiera des travaux au muséum d’Histoire Naturelle de Paris et enseignera la biologie en Afrique de l’Ouest.   

Elle enseigne aujourd’hui à l’école de l’Image aux Gobelins, à Paris, et fait œuvre pédagogique, en même temps qu’elle parcourt  continuellement la planète, à la recherche de nouvelles investigations photographique.   

Infatigable voyageuse, Michèle Maurin pose un regard singulier sur les lieux qu’elle visite et développe une démarche peu commune, reflet d’une phénoménologie particulière de la perception. 

D’un voyage, elle peut n’en rapporter qu’une fleur – fleur – polaroid, fleur positive – négative, métamorphosée par un virage d’or, d’argent ou de sélénium, en une image prégnante et symbolique. L’artiste fait renaître un monde dans sa sensualité primitive et conjugue à travers son œuvre, diverses temporalité.  

L’interpénétration de sociétés différentes marque un travail dont la capacité d’évocation, la force poétique (relevées par J.C. Lemagny, dès l’origine, à l’occasion de la présentation antérieure d’une série photographique sur le Maroc), sont liées à une remise en question de la valeur cognitive de l’image.  

La photographie devient prétexte, s’ouvre sur une multiplicité de représentations. Une  élaboration séquentielle d’images en appelle à une mémoire sélective et fragmentaire. «Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus», écrit Marcel Proust dans Le Temps retrouvé. La remémoration d’un «vert paradis» apparaît imperceptiblement associée à celle, formatrice, de premières expériences gustatives. Dans la luxuriance et l’exubérance de la nature, les premiers « voyages gourmands » revêtent un caractère particulier, exaltent l’imagination, cultivent les sens et prennent une importance déterminante.   

J-Y T.

Michèle Maurin – Photographies – Le vert paradis. Un voyage gourmand

Exposition du 3 mai au 30 août 2012

Espace Mobalpa – 15 Boulevard Diderot 75012 Paris

Perfect Storm: Mitch Dobrowner Named Sony World Photographer of the Year 2012

One of the images from Mitch Dobrowner’s winning series Storms

American photographer Mitch Dobrowner has won the Sony World Photographer of the Year 2012 award, with a series of stunning photographs entitled Storms.

Dobrowner’s extraordinary black and white photos of brooding skylines pregnant with impending storms defeated over 112,000 rival images that were submitted from 171 different countries.

Chairman of the judging committee, WM Hunt, said: “There is enormous pleasure in the jury’s selection of Mitch Dobrowner because he is the best of what is classic and what is contemporary in photography.

“He brings a sense of its history and enormous skill in his craft while pushing his imagination and, even, physical strength. The work offers a visceral rush while being wonderfully well made. I think he is an exceptional choice.”

Dobrowner, who grew up on Long Island, New York was named winner of the L’Iris d’Or and given a cheque for $25,000 (£15,500), along with Sony’s latest digital imaging camera equipment, at a lavish ceremony at London’s Hilton Hotel on Thursday evening.

A keen photographer in his youth, Dobrowner only resumed taking photographs again properly in 2005 after setting up a design studio with his wife.

Elsewhere Open Photographer of the Year title was awarded to 29-year-old German Tobias Bräuning for his entrancing image Dancing Queen. He walked away with $5,000 (£3,000) for his efforts.

The Youth Award Winner, a new edition to the programme specifically for under 20s, went to Sergey Kolyaskin from Russia, for his image The Last Hero, who was given Digital SLR camera equipment from Sony and a showcase spot at the winner’s exhibition.

This year’s Outstanding Contribution award went to the influential New Yorker William Klein. The 83-year-old, known for ironic and unusual approaches to photography, has been at the cutting edge of the medium for the past 60 years.

Check out some of the shortlisted photographs from this year’s awards:

http://www.huffingtonpost.co.uk/2012/04/26/sony-world-photographer-2012-mitch-dobrowner-winner_n_1457339.html?ref=fb&src=sp&comm_ref=false

Galerie Esther Woerdehoff – Karlheinz Weinberger, « The Rebels »

Karlheinz Weinberger, « The Rebels »

Des gangs en blouson noir, des poseurs vêtus de jean et de gros ceinturons, des filles au brushing en choucroute, les jeunes rebelles que photographie Karlheinz Weinberger dans les années 1960 ont pour héros James Dean, Marlon Brando, Elvis et Marylin. Pourtant nous sommes au fin fond de la Suisse alémanique, devant une génération que la société traditionnelle et conservatrice rejette en les appelant les “Verlaustan” (couverts de vermine) et qui se surnomment eux-mêmes les “Halbstaker” ou demi-durs. Karlheinz Weinberger (1921-2006), réalise ses premières photos dans un club homo clandestin de Zürich “Der Kreis” et les publie dans le magazine du même nom.

Formé en autodidacte il rencontre ces groupes de jeunes à la fin des années 1950 et les photographie dans le studio de son appartement ou lors de leurs escapades dans la campagne suisse.

Ces jeunes qui s’approprient en décalage les codes de la Fureur de Vivre et se bricolent des tenues créatives et provocantes trouvent un admirateur en Karlheinz Weinberger. Le photographe les suivra plusieurs années, ce qui lui permet de s’échapper de son morne quotidien d’employé à l’inventaire d’une usine et d’accepter sa propre part de singularité.

Longtemps ignorée, cette œuvre d’une vie nous dévoile avec beaucoup de tendresse et une pointe d’ironie, cette génération en quête d’identité, qui s’est construit une contre-culture originale à base de pastiche et de récupération.

Galerie Esther Woerdehoff 

36, rue Falguière  – 75015 Paris – France

mar. – sam. 14h – 18h

www.ewgalerie.com

Exposition du 11 Février au 17 Mars 2012

Léo Caillard – Interview pour Photographie.com

Léo Caillard – Interview pour Photographie.com

Quel est le visage de la photographie émergente ? Quelles sont les frontières que les jeunes artistes contemporains s’efforcent de briser ? Quelles sont leurs sources d’inspiration ? Nous avons posé ces questions à Léo Caillard, jeune photographe auteur de la très remarquée série « Art Game ». Passionné par les techniques modernes de retouche, ce spécialiste du faux-semblant visuel pose les conditions d’une nouvelle révolution artistique. 

Photographie.com : Vous faites partie de la jeune photographie émergente. Comment définiriez-vous cette notion ? Qu’est ce qui vous anime, qu’est ce qui vous inspire ?

Je ne pense pas qu’un photographe « émergent » en ait conscience. C’est le retour du public qui lui fait réaliser que son oeuvre prend forme.

La photographie émergente est à mon avis une photographie décomplexée, qui aime la prise de risque et souhaite utiliser les évolutions rapides des techniques de manière créative, sans en avoir peur. L’arrivée du numérique a bouleversé les codes de toute une génération de photographes. Le rejet de ces nouveaux outils se fait encore ressentir aujourd’hui dans le milieu de l’art tout comme dans certaines pratiques photographiques.

Ce qui m’anime, c’est cette ouverture créative qu’offrent les moyens techniques actuels en photographie. C’est la possibilité d’utiliser des outils qui jusqu’à maintenant restaient propres à la photographie de commande publicitaire (retouche, 3D etc..) pour construire un propos artistique et parler de notre monde. Je pense que c’est ça la photographie émergente contemporaine.

Photographie.com : Dans beaucoup de vos séries, vous jouez avec la réalité et la fiction, pour créer un monde qui vous est propre. Pourquoi cette passion pour la fiction-alité ? Qu’est ce que vous désirez communiquer par ces oeuvres ?

La photographie est en soi une interprétation, une vision subjective d’un évènement – même la photo humaniste argentique est une fiction. Pourquoi s’obliger à représenter le réel « tel qu’il est » en photographie contemporaine, alors que les moyens techniques nous offrent la possibilité d’en donner notre propre interprétation ?

La peinture a depuis bien longtemps dépassé le cadre réducteur de la représentation figurative. La photo s’en approche, petit à petit, car pour beaucoup de gens encore, une photo non-réaliste est une photo qui « ment « . La post-production n’est pas encore une pratique toujours bien vue.

De mon point de vue, si le fait de remanier mes images me permet d’en tirer un sens bien réel, un propos qui questionne le spectateur et qui apporte un autre regard sur le monde, alors j’ai gagné mon pari. C’est ma manière de photographier.

Photographie.com : Comment s’inscrit votre vision artistique dans l’actuelle photographie émergente ? Y-a-il des tendances, des points communs que vous pouvez identifier ? 

C’est une période riche et complexe en photographie. Les temps sont durs, alors je pense que les photographes osent plus qu’auparavant.

Je pense que la narration est au coeur de la photographie contemporaine. Jusque dans les années ’70, la photographie était majoritairement un outil de communication en presse, un moyen de témoigner sur les évènements du monde. Les grands photographes de la période humaniste ont d’ailleurs beaucoup marqué les esprits, à tel point qu’il a fallu un vrai temps à la photographie pour se réinventer.

Après une période plasticienne, presque conceptuelle, on retrouve une approche photographique narrative. Mais on est cette fois-ci bien loin du réel brut, on préfère la mise en scène, presque cinématographique et contemplative. Pour les plus anciens, je pense à des photographes tels qu’Erwin Olaf avec sa série Hope, Nadav Kander et son livre sur le Yangtsé. Pour les plus récents, je pense aux oeuvres des photographes de mode tels que Suzie Q + Leo Siboni, ou encore aux dernières séries de Romain Laurent. Ma photographie se veut elle aussi contemplative, hors du temps, impossible à dater. Elle parle d’une époque au sens large plus que d’un fait précis.

Photographie.com : Chaque génération d’artistes désire révolutionner l’art… Quelle est votre façon à vous de mettre en oeuvre cette révolution ? Est-ce que vous avez constaté la présente de freins, de réticences ? 

Oui, en effet, chaque génération d’artistes souhaite faire avancer le propos. Je pense que pour mettre en oeuvre cette révolution, il faut observer le monde bouger, l’analyser, en comprendre les rouages pour imaginer des images fortes qui donneront à penser.

Beaucoup de « résistances » sont encore à l’oeuvre. Entre photographie de commande et photographie artistique, il y a un saut que beaucoup de personnes n’aiment pas franchir. Cédric Delsaux, dont l’excellent travail est à mon goût d’une grande inspiration, est tout à fait dans le propos de la photographie artistique contemporaine. Il aura fallu des artistes comme lui pour ouvrir le chemin à la jeune photographie émergente.

Il y a beaucoup de résistance aussi vis-à-vis du numérique et des nouvelles techniques de création en photographie : le fait d’avoir des fichiers reproductibles, donc en soi sans valeur, l’évolution permanente des techniques etc… Tout ceci offre matière à critiquer.

Mais le marché de la photo est en plein essor, Paris Photo en est la preuve : de nombreuses galeries s’intéressent de plus en plus à ce qu’ils appellent les « nouveaux médias » artistiques. De toute manière, la « révolution artistique » suivra les changements profond qui vont nécessairement transformer nos sociétés modernes dans les années à venir. Le tout est d’avoir l’oeil pour les anticiper.

Photographie.com : Sur quoi travaillez-vous actuellement ? 

Je travaille sur une série inspirée du travail du duo d’artistes Elmgreen & Dragset autour de l’ apparition de zones urbaines dans des paysages insolites. A voir très prochainement…

Propos recueillis par Roxana Traista

http://www.photographie.com/news/leo-caillard-la-photographie-emergente-est-une-photographie-decomplexee

7 Mars 2012 – Pierre Bergé et Associés – Deuxième partie de la collection de Jean-Paul Morin – Livres, manuscrits, photographies

Pierre Bergé et Associés – Deuxième partie de la collection de Jean-Paul Morin – Livres, manuscrits, photographies

Informations sur la vente :

Collection Jean-Paul Morin

Voyages-Explorations

Livres, Manuscrits, Photographies

Expositions publiques:

Drouot-Richelieu – salle 7
Mardi 6 mars de 11 heures à 18 heures
Mercredi 7 mars de 11 heures à 12 heures

Téléphone pendant l’exposition publique: +33 (0)1 48 00 20 07

Vente : 

Mercredi 7 mars 2012 à 14h00

Drouot Richelieu salle 7

2e partie vente Jean-Paul Morin

Téléchargez le catalogue : Berge-07032012-bd

Experts:

Livres & Manuscrits
Benoît Forgeot
T.: +33 (0)1 42 84 00 00
info@forgeot.com

Photographies anciennes
Serge Kakou
T.: +33 (0)1 40 39 06 09
kakouphoto@gmail.com

 

Pierre Bergé & associés
EMail : contact@pba-auctions.com
Tél. : Paris +33 (0)1 49 49 90 00
Bruxelles + 32 (0)2 504 80 30

8 Février au 8 Mars 2012 – GADCOLLECTION – Exposition Saint Valentin

GADCOLLECTION – Exposition Saint Valentin

Avis aux amoureux et à tous les autres…

Pour la SAINT VALENTIN, GADCOLLECTION vous invite à l’exposition du 8 Février au 8 Mars 2012

Photographies de : Sophie Badens, Jean-Claude Gautrand, Eric Marrian, Mitch Dobrowner et des photographes anonymes
Sur certaines photographies, c’est vous qui fixez le prix…

RSVP : info@gadcollection.com

Contact : 01 77 32 41 53

Télécharger le dossier de presse : cliquez ici

La galerie propose désormais un service de location d’exposition, pour tout renseingnement : cliquez ici

Adresse :

5 rue des Sablons,
Immeuble en fond de cour, 75116 Paris
Métro Trocadéro ou Victor Hugo / Parking Saint Didier

www.gadcollection.com

25 Février au 25 Mars 2012 – Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne – Paris

Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne – Paris

© Alexandra Serrano

C’est la deuxième édition de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne organisé par l’association Fetart.

Téléchargez le dossier de presse :
http://www.festival-circulations.com/?-Presse-

Ce festival a pour vocation de présenter un panorama de la nouvelle génération de photographes européens et de mettre en synergie des initiatives culturelles européennes autour de l’image.

Il se tiendra à la galerie Côté Seine du parc de Bagatelle à Paris du 25 février au 25 mars 2011.

Présidé cette année par Christine Ollier, il présentera une exposition de plus de 40 photographes européens ainsi que de nombreuses autres manifestations.

Infos pratiques

Horaires et tarifs

Du 25 février jusqu’au 1er mars 2012
du lundi au vendredi : de 11h à 17h
samedi et dimanche : de 11h à 20h

Du 2 mars jusqu’au 25 mars 2012
du lundi au vendredi : de 11h à 18h30
samedi et dimanche : de 11h à 20h

Entrée libre

Dernière entrée 45 minutes avant l’heure de fermeture, évacuation des salles 30 minutes avant l’heure de fermeture.

Accès

Galerie Côté Seine & Trianon, Parc de Bagatelle
Route de Sèvre, Neuilly (Entrée coté galerie)
Métro Ligne 1, Station « Pont-de-Neuilly »
puis Bus 43
ou
Allée de Longchamp, Paris 16 (Entrée coté parc)
Métro Ligne 1, Station « Porte Maillot »
puis Bus 244 (Arrêt Bagatelle-Pré Catelan)

Relation Presse :
Nathalie Dran + 33 (0)9 61 30 19 46 / +33 (0)6 99 41 52 49

Des photographies originales à 100 € et 300 € pour vos idées cadeaux de fin d’année – GADCOLLECTION

Commandez sur Internet des photographies originales à 100 € et 300 €  pour vos cadeaux de fin d’année…
GADCOLLECTION est une galerie d’art contemporain consacrée uniquement à la PHOTO.
Nous demandons à tous nos photographes de sélectionner une série d’images qui seront éditées en petit format et en édition très limitée à 100 € ou 300 € afin que le plus grand nombre puisse accéder à une œuvre d’art.
Tous nos photographes ont leurs œuvres dans les plus grands musées à travers le monde (MoMa, Beaubourg, Getty, etc).
GADCOLLECTION gère une collection de qualité signée par des grands noms : Alice Attie, Sophie Badens, Richard Schlang, Jean-Claude Gautrand, Mitch Dobrowner, Michèle Maurin, Rachel Levy, David Rubinger…  GADCOLLECTION certifie l’authenticité, la signature et la numération de toutes les photographies par leur auteur.
Le but de la galerie but est de faire (re)découvrir des photographes importants qui n’ont pas été dans la spéculation du marché de l’art. Rendre accessible au plus grand nombre des œuvres de qualité à petits prix, la photographie permet encore cette démarche, tout en garantissant à travers le site marchand une transparence des transactions.
GADCOLLECTION, 5 rue des Sablons, 75116 Paris, France
Contact : Gad EDERY  01 77 32 41 53

Galerie Photo-Originale – Deux nouveaux photographes : Rimel Neffati et Benjamin Hoffman

Deux nouveaux photographes : Rimel Neffati et Benjamin Hoffman

« J’ai 27 ans, vis et travaille à Paris. J’ai commencé la photo il y a presque 3 ans et les autoportraits depuis 2 ans et demi, ce qui est vite devenu ma matière principale. Je puise mon inspiration dans la nostalgie, l’enfance,…

J’interprete des personnages, me decline a l’infini à travers la transformation, les deguisements ou parfois un simple accessoire. J’aime aussi l’idée de créer des photos proches de la peinture ou du dessin.
Je travaille essentiellement en numérique et avec Photoshop.
Je réalise seule les prises de vues, les mises en scène et la retouche ».

Photographies originales numérotées et signées
Tirages limités à 10 exemplaires / Format 40x50cm -150 €


Né en 1986, Benjamin Hoffman, journaliste de formation est venu à la photographie par le reportage.
Il exerce comme reporter d’images pour la télévision et collabore à des publications papier.
Attiré par le pouvoir documentaire inégalé de la photo il poursuit un but simple. Voir et faire voir.
La photo est un formidable vecteur de transmission.
A travers son travail, il poursuit une recherche personnelle permanente, qui pose plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Tant mieux. « Car si je savais pourquoi je fais de la photographie, j’arrêterais! »

Photographies originales numérotées et signées
Tirages limités à 30 exemplaires / Format 40x50cm – 200 €

Galerie Photo-Originale

24 rue Molière 75001 Paris

Métro : Palais-Royal / Pyramides
www.photo-originale.com